YMO supprime les frais de transfert et de retrait au bénéfice des Guinéens et de la diaspora

00671854 9b718bba7815f347d26c54a890cef274 arc614x376 w735 us1YMO, la fintech guinéenne à dimension internationale, franchit une nouvelle étape décisive en annonçant la suppression totale des frais d'envoi et de retrait d'argent vers la Guinée, quel que soit le montant transféré. Une première qui marque un tournant pour le secteur des transferts d'argent en Guinée et qui illustre l'ambition de YMO d'offrir aux citoyens et à la diaspora une alternative inclusive, accessible et souveraine.

Une évolution rendue possible par une stratégie ambitieuse 

Cette décision majeure est le fruit d'une stratégie visionnaire menée depuis la création de YMO en 2019. Dès ses débuts, l'entreprise a fait le choix d'investir dans une infrastructure technologique indépendante, tout en obtenant les autorisations nécessaires en Europe ainsi que les agréments officiels en Guinée lui permettant d'opérer dans un cadre strictement réglementé.

Parallèlement, sur le terrain, YMO a déployé un réseau dense et fiable d'agents (8 000) couvrant l'ensemble du territoire guinéen, jusque dans les villages les plus éloignés, afin de rapprocher les services financiers des bénéficiaires et leur éviter de longs déplacements.

L'entreprise a également fait le choix de limiter au maximum les intermédiaires financiers qui alourdissaient traditionnellement les coûts de transfert, tout en déployant un service client de proximité, multilingue et ancré dans les réalités locales afin de répondre avec précision aux besoins des utilisateurs.

Avant l'arrivée de YMO, envoyer de l'argent en Guinée coûtait en moyenne près de 9% du montant transféré, des frais appliqués par des acteurs étrangers. L'entrée de YMO sur le marché a alors exercé une pression positive sur l'ensemble du secteur, obligeant les acteurs traditionnels à revoir leurs marges à la baisse.

En quelques années, les frais moyens sont passés à 5 %. Aujourd'hui, la start-up franchit une nouvelle étape en supprimant totalement ces coûts, tant pour l'expéditeur que pour le bénéficiaire. Bien plus qu'une innovation financière, cette avancée marque un geste de souveraineté économique et affirme la volonté de la diaspora guinéenne de reprendre la maîtrise de ses outils financiers.

Pour   Abdoulaye Barry, fondateur de YMO, cette étape constitue à la fois un aboutissement et un point de départ :   "Pendant longtemps, envoyer de l'argent en Guinée représentait un coût important. Avec YMO, nous transformons cette réalité : zéro frais pour envoyer, zéro frais pour retirer. Ce que nous construisons ensemble n'est pas seulement un service financier, mais un patrimoine collectif au service de la diaspora et de nos proches en Guinée. Au-delà d'une application, YMO incarne une nouvelle voie pour l'inclusion financière." 

Accélérer l'inclusion et innover pour demain

En alliant expertise technologique, ancrage local et portée internationale, YMO se positionne comme l'une des figures de proue de la nouvelle génération de fintech africaines. En supprimant totalement les frais, l'entreprise démontre qu'innovation, inclusion et viabilité économique peuvent aller de pair.

Cette avancée ne se limite pas à une évolution financière : elle s'inscrit dans une dynamique plus large qui vise à resserrer les liens entre la diaspora et la Guinée. En développant des solutions simples, accessibles et sécurisées, pensées pour les réalités du quotidien, YMO fait de la technologie un levier de souveraineté et un outil concret de rapprochement entre les familles.

La suppression totale des frais n'est qu'un jalon dans une ambition plus vaste. Dans les prochains mois, la start-up prévoit de lancer de nouveaux services pensés pour répondre aux réalités et aux besoins quotidiens des Guinéens.

Source: allafrica

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