Des cendres du forum, doit naître une opposition nationale : 2è partie

I Les cent jours d’Alpha condé

Peut-on commenter (1) en une centaine de secondes, 100 jours de noyade ! Vous connaissez ces plagistes qui quand il fait beau, vont en haute mer sur des pédalos. Espèces de motocyclettes qui permettent de s’éloigner des rivages pour aller goûter les émotions fortes  du grand large. Il y en a qui ne savent pas nager.

Qu’arrive-t-il quand le pédalo se renverse ? Gare si le touriste de haute mer se met à s’agiter, car à force de s’ébrouer il risque de repousser sa planche de salut qui se trouve être son pédalo. Et alors l’aventure est sans espoir. Ici le navire Guinée prend eau de toutes parts. Bref le « président démocratiquement élu » (RTG) a laissé filer entre les doigts et les pieds, cent jours, en pure perte, après avoir bouché tous les horizons d’accostage. Il avait dit en effet :

 

Je vais reprendre la Guinée où AST l’avait laissée.

 

Encore :

 

J’ai hérité d’un pays mais pas d’un Etat.

 

Grave malentendu.

 

Il n’a pas hérité d’un pays, mais des lambeaux d’une nation dont il a contribué à saucissonner les dépouilles laissées par ses prédécesseurs :

 

-  Kankankoura est devenu un camp de réfugiés à Dinguiraye

 

-  Siguiri a été expulsé vers un centre de rétention à Dalaba

 

-  Kouroussa a émigré à..

 

Bref le président démo n’a trouvé ni Etat ni Nation. Pour rebâtir l’Etat il n’eût pas fallu s’entourer de ceux qui l’ont mis par terre. Pour reconstruire la nation, on attendra,  après les cent jours dilapidés dans les discours qui opposent ethnies à ethnies, commerçants et consommateurs, fonctionnaires et entrepreneurs, partenaires étrangers renvoyés dos à dos avec des promesses qui s’annulent les unes les autres ; Areeba-Colle la Guinéenne à Orange-Guinée de Khadafi (eh oui !)  Voyez les mésaventures de Soros, des Brésiliens, de Necotrans, Getma.

 

Il y a quelques jours, c’est La BICIGUI, LA SGBG qu’on cherchait à opposer à leurs maisons mères, la BNP et la Société Générale. Donc, il faut « mélanger » (Lansana Conté) les banquiers aux clients, avec comme boucs émissaires les cambistes ! Le mauvais temps, c’est la faute au thermomètre. Nous n’avons pas le temps de développer ces naïvetés populo-gauchardes.

Citations :

 

 « J’ai dit à vos patrons lors de ma rencontre avec le MEDEF que vous êtes contre moi » !

 

Les 100 jours ont été dilapidés dans des décrets bâclés, voire anti- constitutionnels :

 

« Alsény Barry, foutez le camp ! »,

 

« Boutiquiers de Guinée, je vous donne trois mois ! »

 

« Femmes de Guinée, prenez la place des boutiquiers et des chefs de quartiers de Lansana Conté, voici 35000 tonnes de riz ! ».

 

Témoins de ce que je dis là : M. Bondabo de Dubréka le donso anti-poussins d’Alséni Barry, remercié depuis, après avoir failli être brûlé vif. L’imam Camara, lors d’un meeting à Dixinn fut prié de ne pas intercéder en faveur de « saboters », à qui l’on avait donné 3 mois pour quitter la Guinée. A l’inverse, le premier ministre Saïd Fofana est prié de jouer son rôle de premier ministre en mettant le feu au cul des tortues au lieu de jouer les Imams. Depuis, voyez le look du sieur Premier, il a ôté sa calotte de soufi iranien.

Hélas !

 

« Notre projet riz est un fiasco.. »

 

Les prochains 100 jours ?

 

Je reprends la Guinée là où AST..

 

Comment ?

 

Conférence nationale ou dialogue-pacte, mais successivement, qui est fou avec :

 

Les femmes,

Les syndicalistes

Les militaires,

Les commerçants,

Les artisans,

Les Libanais,

Les magistrats,

Les agriculteurs..

 

Un vrai poème bucolique agrémenté de kakilambè avec des lyrics rap !

 

En lieu et place d’un programme cohérent, on convoque les composantes économiques, les classes sociales, et on dit :

 

Je ne vous connais pas, tout le monde me fuyait parce que j’étais l’opposant ! Donc dites-moi vos doléances, faites-moi des listes.. D’ailleurs on dirait qu’il y a des absents, je ne vois pas les mendiants ! Comme au temps des forces vives, au temps où j’étais opposant. La belle époque, « la grève des battus » !

 

Une conférence nationale diffractée. Un dialogue sous forme de deux monologues. Comme au temps d’AST où un seul parlait. Car le Peuple qui parlait, c’était l’homme, et l’homme c’était le peuple. L’HOMME/PEUPLE. Le tour est joué. En fait il y a un programme, une obsession, les législatives. Là encore on piétine les textes. Le ministre des prochaines fraudes convoque les partis, décide de disqualifier la CENI, de refaire le recensement car  le code secret du système a disparu avec la SAGEM ! On imagine la catastrophe qui s’en eût suivi si on avait disposé d’une bombinette fabriquée à notre célèbre centre de formation technique de Dabadou dans Kankan !

 

On décrète que les élections n’auront lieu qu’au dernier trimestre de 2011. A la barbe de notre Assemblée délibérante (nationale ?), le CNT, puisque nous n’avons pas autre chose. On s’en sert quand on a le rhume, on se mouche avec et après on le balance comme du Kleenex, le moment venu.

 

Après cent jours, il n’y a toujours pas les prémices d’un Etat, ni le « patron » d’une Nation, au sens couturier du mot. Quant aux annonces positives faites, audits, révision des contrats, c’est le changement dans la continuité. La Guinée depuis AST était actionnaire à 49% dans nos conventions minières. Le président démo vient de descendre la barre, en bombant la poitrine face aux amnésiques. Les moins jeunes se souviennent quand AST avait donné 24 heures à nos partenaires à Kamsar qui voulaient baisser la taxe. Aujourd’hui cette dernière est quasi nulle. On oublie le Grand Sékou et on nous sert le petit Sékou, celui du charmeur démago, populo, de ces belles dames qui savent prendre en otage les premières dames. Bientôt Dame Djènè deviendra la mère des musulmans. Quant aux révisions, ce sont nos nouveaux partenaires qui sont déjà en passe de réviser leur check up (Soros) de M. Condé, en revoyant  leurs engagements face à un pouvoir dont les impros désordonnées n’inspirent nulle confiance. Les premières pierres du  chemin de fer Kankan Bobo sont du toc. Les Brésiliens n’ont pas compris que le « président démo » dise que le fer du mont Nimba passera bel et bien par Conakry. Soros, qui est loin d’être un mécène, semble estomaqué par les promesses faites à EDF,  alors qu’il songeait à périodiser les 25 millions de dollars en vue de la fourniture d’électricité à la Guinée sur le long terme. Bref, pendant que nous cherchons de façon inconstitutionnelle à lancer un emprunt de 500 millions de dollars, cher, qui deviendra très cher pour les générations futures, Alassane Dramane Ouattara dispose déjà de  quelque 600 millions d’euros frais, presque gratis.

 

J’ai été effaré d’entendre l’économiste, le docteur maison qui fait tout seul 10 Sidya dixit un « noble » aboyeur (2) maison lors d’une émission. Oui Ousmane Kaba disait lors de cette émission réservée aux élus de la RTGB :

 

La Guinée est engloutie par un tsunami. Entendez le gonflement de la masse monétaire qui a doublé en deux ans, 2009 et 2010. Premier geste de sauvetage : on coupe le robinet. Deuxième geste, un bouche-à-bouche de proximité pour aspirer les eaux d’infiltration, entendez les francs glissants qui circulent. Attention, pour le faire, il faut des devises. On inverse la formule bien connue des économistes, la mauvaise monnaie chasse la bonne. Notre docteur et son président sont donc en quête de la bonne monnaie pour chasser les francs glissants. Le hic, c’est la raréfaction des devises. Donc on fait la chasse aux cambistes. Et on lance un emprunt de 500 millions de dollars. D’ailleurs ayant entendu les critiques, on s’apprête à soumettre une loi de finance au CNT honni en sourdine. J’ai dit qu’Alpha draguait ces temps-ci Dame Rabi. Les mauvaises langues racontent qu’il vient de fermer les yeux sur un budget de 100 millions que Dame Rabi s’était alloué.. Un peu de beurre dans ses épinards mensuels de 3000 euros mensuels, (30 millions de fgs, alors que le conseiller lambda du CNT se débrouille avec 500 euros (5 millions de fgs, ce n’est pas rien, mais l’écart est scandaleux, surtout que carburant et mayonnaise sont compris). Donc gonflement, même doublé de la masse  monétaire en circulation n’est pas synonyme d’inflation (3) qui est plutôt « flambée générale et durable des prix ». Rien n’est durable en deux ans. Et puis 2009-2010, c’est Dadis-Konaté-Jean-Marie Doré-Kerfalla Yansané. Et cette chaîne, pour qu’elle nous mène à la racine de l’inflation, doit s’étirer jusqu’à la première République. Car la cause principale, économique et donc politique de l’inflation est la STAGNATION.

 

Pendant la première république, il n’y avait pas d’inflation à proprement parler. Les prix étaient stables, drastiques (je ne dis pas sous le manteau !). Comme la vie sociale. Pas de chômage ou presque. On avait tout : riz, huile, tomates, cigarettes. Et par-dessus le marché, on avait bon an mal an 350-450 millions de dollars, dans les caves de la présidence. Il suffisait d’avoir son carnet de ravitaillement.

 

Il y avait tout. Seulement, il n’y avait pas d’économie.

 

L’inflation d’aujourd’hui prend ses racines dans la stagnation d’hier. Et qu’on ne me raconte pas que les 350 millions de dollars de l’époque allaient dans les carnets de ravitaillement d’une population qui faisait seulement un peu plus de la moitié de celle d’aujourd’hui. Revoyez les comptes de la nation de la première république. Vous vous demanderez si l’on n’a pas enterré les dignitaires angbansan avec nos devises. Le responsable suprême avait pour sûr, prédit qu’aucun de la « famille » ne survivrait à sa disparition.

 

« Sékou lui ne volait pas.. ».

 

Nous reviendrons, chiffres à l’appui sur cette fable.

 

Pour autant, les cent jours perdus par « le président démocratiquement élu » (RTG) ne sont pas cent jours gagnés par l’Opposition, beaucoup s’en faut.

 

II Sept points de fuite d’une opposition en quête de leadership

 

Relisez attentivement chacune des  propositions qu’annoncent ces sept points qui ponctuent leur récente déclaration :

 

 1) Sur invitation (du ministre du MATAD)

 

 2) L’objet de cette réunion était d’informer les Partis Politiques des décisions prises,

 

3) Profonde surprise des invités qui..

 

4) s’opposent

 

5) En conséquence, les partis

 

6) lancent un appel pressant au CNT et

 

7) au Gouvernement pour l’ouverture d’un dialogue franc  et fécond dans les meilleurs délais..

 

A la lecture de la déclaration des partis qui l’ont signée, ma première réaction fut de trouver très émouvante l’indulgence de plus d’un, voire le soulagement de certains. Ensuite je suis resté bouche bée. Serais-je devenu grognon, aigri, insatisfait de tout, trouvant des poux à tout le monde à cause du président démo ? Enfin je me suis retiré dans ma petite Kaaba imaginaire. Une voix ma dit :

 

« L’indulgence des jeunes est très inquiétante ! Très mauvais signe ! ».

 

Ce texte dont plusieurs observateurs ont trouvé l’état, indigne de futurs hommes d’Etat, est en effet un document historique. Il est signé par les principaux acteurs politiques candidats à l’alternance. Mais l’indignation d’aucuns s’est arrêtée au support, au papier, à l’accessoire. Or vous savez que l’habit fait parfois le moine. L’apparence souillonne de ce texte avec des signatures de gauchers contrariés reflète-il la concentration intellectuelle de ses signataires livrant des « travaux » de colonie de vacances ? L’état de ce papier est symptomatique, au sens médical du terme. Au sens sémiologique. Au sens politique enfin. Les psychanalystes pourraient y trouver beaucoup d’« actes manqués », refoulés.

 

1) Sur invitation :

 

A la place de MM Diallo, Touré, etc., je ne me serais pas rendu à cette « convocation ; je ne m’y ferais même pas représenter. Ce n’était pas une invitation mais une convocation puisque l’ordre du jour avait été décidé par un ministre. Je ne me rends pas à une réunion à la confection de l’ordre du jour de laquelle  je n’ai pas participé. Cette politique de la chaise vide n’aurait pas été une première. Les acteurs d’aujourd’hui (y compris le patron du ministre hôte qui n’était même pas en Guinée ?), avaient  boudé de façon plus spectaculaire la rencontre avec Dadis, dans un palais du peuple archi comble où un certain comité ad-hoc de 22 membres, mis en place par le Forum, avait contredit ses propres mandants qui exigeaient les élections avant 2010 ! Ce comité devait  solennellement restituer son travail qui renvoyait à janvier 2010 les élections, donnant ainsi un argument solide à Dadis de se présenter. Mais leur présence aurait carrément légitimé la candidature de ce dernier.

 

2) l’objet de cette réunion était d’informer les Partis politiques  des décisions.., etc..

 

Puisque tout est décidé, qu’est-ce je fais là ?

 

3) Profonde surprise.

 

Comment cela, quelle surprise, tous les médias en ont parlé, peut-être même que votre carton d’invitation mentionne l’objet de votre future « surprise » !

 

4) S’opposent :

 

Faux, voir plus bas, numéro 7,

 

5) En conséquence : 

 

Non, il s’agit de la « principale », dans un raisonnement ! C’est par là qu’il eût fallu commencer. Le viol constitutionnel ! C’est ce viol qui entraîne des conséquences !

 

Ici, nous quittons ce qui paraîtrait une argutie linguistique. Alors que nous sommes au cœur de la crise de l’intellectuel, de la crise de leadership, qui entraîne la défaite dans l’action politique. La théorie est le guide de l’action, a dit l’autre. Confondre la cause et l’effet c’est risquer d’enchainer des actions dans les ténèbres.

 

6) Lancent un appel pressant au CNT.

 

En effet, c’est par là qu’il fallait commencer, avant même qu’Alpha et Alassane Condé ne « décident » tranquillement que les élections se tiendraient le dernier trimestre de 2011, au lieu de mi-juin. Et ce n’est pas un appel, un mandialladji qu’il faut lancer comme des mendiants !

 

C’est niet !

 

Qu’il fallait lancer unanimement ou à défaut, dans les rangs de l’UFDG, dès les premiers ballons d’essai lancés par qui vous savez.

 

 7) Les partis politiques lancent un appel au gouvernement pour un dialogue franc et fécond.

 

Lancez donc votre appel. Il sera entendu dans dix ans, quand le président calamiteusement élu se sera reclus dans son bunker de Sékou.., comme son triplé Gbagbo ; il faudra alors faire comme Alassane Dramane Ouattara, lançant un appel presque fraternel à Gbagbo, ADO soutenu par plus d’un millier de Français armés jusqu’aux dents, appuyé par une armada de l’ONU parée d’une certification qui légitimait ce qu’on aurait dû faire quatre mois plus tôt. Seul l’acier moyen l’acier. En faisant l’économie de milliers de morts et de centaines de milliers de déplacés.

 A la prochaine rencontre,  je propose comme ordre du jour : « Du CNT ou du  « président démocratiquement élu » (RTG), qui est plus légitime ?

 

Assurément, il y a des arguments juridiques en béton, alignés par ce papelard. Mais comment depuis Octobre 2010, depuis ces « empoisonnements » et les nettoyages qui en ont suivi, ces actes de barbarie qui rappellent le nazisme, des PV volatilisés, des courts-circuits où des fichiers disparaissent à la barbe de la  Fosspel, et récemment, ce garçon trucidé par une balle froidement logée dans le cou pendant qu’on bastonnait des journalistes, alors que tous les soirs la RTG, que dis-je, la RTPG pendant une heure de mamaya, finit sa messe noire comme au temps d’AST par « grâce au président démocratiquement élu », même quand c’est la première dame qui redresse une mèche achetée pas loin de chez Séphora sur les Champs Elysées, face à toutes ces dérives, qu’est-ce que c’est que le droit devant la force barbare ? J’ai écrit un jour que l’arme fatale n’était qu’un bout de papier, un bulletin de vote. Mais attention, il faut avoir à l’esprit la force insufflée dans ce bout de papier. Même quand physiquement il est blanc, en réalité il est rouge du sang des martyrs des jours et des jours de combats. Le bulletin de vote guinéen est rouge du sang des martyrs de juin 2006, de Janvier et Février 2007 et de Septembre 2009. On peut ne pas remonter au déluge de la première république. On peut ne pas se demander ce que pensent les pendus des 23 régions de Guinée, c’est trop loin ( ?), des violées du Stade Boiro, mais on ne peut pas oublier le second nettoyage de Zakaria à la RTGP car M. Cellou D. Diallo avait bel et bien montré les images atroces du martyre de ce jeune homme. Alors ces pseudo conférences nationales au présidium duquel trônent Dame Djènè et son fama démocratiquement chantés par les griots du Manding devant un aréopage de la communauté internationale, non merci.

 

En attendant une vraie conférence nationale.

 

Il faut une autre CENI mise en place par le CNT. Le hic, c’est que le CNT est un monstre qui n’est plus fiable.

 

Il faut un chronogramme d’actions juridiques, politiques, sociales, médiatiques, etc., pour FORCER ce monstre de CNT  et ce gouvernement à botter en touche. Il faut arrêter le match. Ou alors laisser la foule dégringoler les gradins pour que dans une ultime horla, l’opposition se remette en ordre de marches. Il n’y a pas lieu de se chamailler puisqu’il n’y a pas qu’un seul fauteuil à conquérir. Il faut empêcher ce président d’avoir une majorité qualifiée. Il faut même être plus ambitieux. Il faut l’empêcher de gouverner comme il le fait en ce moment. Sinon nous somme repartis pour au moins dix ans de ni guerre ni paix comme pendant les vingt quatre ans de Lansana Conté qui se sont soldés par d’infâmes cris de cœur et de regrets du temps d’AST où les ravitaillements se faisaient au moins dans l’ordre !

Pendant qu’Alpha se cherche dans les ténèbres sur le chemin de retour à la défunte république, égaré dans le labyrinthe de L’Etat sauvage de la seconde république, l’opposition se cherche un « Cadre de concertation pour la finalisation de la transition » !

 

J’espère que ce document ne sera pas signé par des droitiers contrariés.

 

(A suivre)

 

Saïdou Nour Bokoum

 

Notes 1) C’est le texte revu d’une intervention à Radio Gangan

         2) Le même canidé qui avait traité votre serviteur de « Tchapourta » !

         3) Les économistes pointillistes ont un autre concept pour ce type d’inflation

 

NB La suite et la fin de ces observations seront conçues comme une valise, d’aucuns diraient aujourd’hui un logiciel pédagogique comprenant :

 

-  Un cadre organique de gouvernement,

-  Un module de stratégie politique pour un alter développement endogène et autocentré (Samir Amin),

-  Les structures et le fonctionnement (mode d’emploi) d’un « mécano » pour le financement de cet alter développement.

 

Naturellement, cette valise ne sera pas mise sur la place publique. Elle sera accessible aux partis de l’opposition, mais pas à un forum où elle serait dévoyée et vouée au sort d’une proie facile des loups aux dents et aux griffes de décrets brouillons.

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